De Foudre et de Diamant
du 13 décembre 2016 – 21 mai 2017
aux Musées Paul-Dupuy - Musée Georges-Labit à Toulouse
Unique dans deux musées de la Ville, l’exposition De Foudre et de Diamant du 13 décembre 2016 au 21 mai 2017 rend hommage au bouddhisme de tradition tibétaine.
Au musée Paul-Dupuy seront exposées 24 peintures tibétaines anciennes, appelées thangkas, objets d'entrainement à la visualisation des divinités dans le bouddhisme tantrique. « Chose que l’on déroule », le thangka est un rouleau vertical, une toile – généralement de coton – recouverte d’un enduit minéral, peinte le plus souvent à l’aide de pigments naturels et montée sur un riche brocart de soie. Par sa technique, le thangka est donc un hybride entre la peinture de chevalet et la peinture murale à secco. Du XVIIe au XXe siècle, les oeuvres entraînent le visiteur dans un voyage au coeur de l’exubérante iconographie du bouddhisme du Pays des Neiges où les enseignements tantriques venus de l’Inde, au VIIIe siècle de notre ère, se sont fortement métissés au contact des cultes anciens de l’Himalaya.
En voyant défiler devant soi les bouddhas, dharmapalâs, dakinis et autres déités aux aspects paisibles ou violemment farouches, on comprend bien vite, qu’au-delà des innombrables formes et métamorphoses que prend la bouddhéité, l’image revêt une importance cruciale dans le bouddhisme tibétain. Qu’un thangka ait été peint pour servir d’offrande, pour obtenir une renaissance favorable ou une guérison ou pour être accroché au-dessus de l’autel d’une déité, son usage reste celui d’un support de visualisation dans des pratiques de méditation et d’entrainement de l’esprit au coeur desquelles l’image mentale est la seule qui importe véritablement in fine. Elle seule est le miroir de l’esprit qui, correctement guidé sur la voie, fera l’expérience de la vacuité du monde et atteindra l’Eveil et la libération de la souffrance promis à tous les êtres par le bouddha historique.
Kalachakra « La Roue du Temps » (détail), peinture à la détrempe montée sur brocart de soie, Tibet, XVIIe siècle Musée Georges-Labit, collection Lise et Jean Mansion © F. Pons, 2016
Et trente photographies de Matthieu Ricard, moine bouddhiste tibétain, auteur et photographe, porte-parole du Dalaï-Lama. Les images de Matthieu Ricard nous plongent dans la vie des monastères, nous racontent les hommes et les paysages du Tibet. Le photographe nous dévoile des instants de sérénité, l'altruisme d'un regard, la bienveillance d'un sourire, l'humanité des moines.
Au musée Georges-Labit, sera présentée l'exposition Voyage chez les enfants moines aux portes de l'Himalaya. La photographe voyageuse et documentariste toulousaine, Isabelle Garcia-Chopin nous emmène à la rencontre de jeunes moines des monastères bouddhistes de tradition tibétaine, au beau milieu des déserts arides des hautes montagnes du Népal et du Ladakh (Inde). Dans la beauté sourde et profonde de ses noirs et blancs, c'est la vie insoupçonnée et passionnante des enfants moines des Himalayas que l'on rencontre avec bonheur.
Et trente photographies de Matthieu Ricard, moine bouddhiste tibétain, auteur et photographe, porte-parole du Dalaï-Lama. Les images de Matthieu Ricard nous plongent dans la vie des monastères, nous racontent les hommes et les paysages du Tibet. Le photographe nous dévoile des instants de sérénité, l'altruisme d'un regard, la bienveillance d'un sourire, l'humanité des moines.
Au musée Georges-Labit, sera présentée l'exposition Voyage chez les enfants moines aux portes de l'Himalaya. La photographe voyageuse et documentariste toulousaine, Isabelle Garcia-Chopin nous emmène à la rencontre de jeunes moines des monastères bouddhistes de tradition tibétaine, au beau milieu des déserts arides des hautes montagnes du Népal et du Ladakh (Inde). Dans la beauté sourde et profonde de ses noirs et blancs, c'est la vie insoupçonnée et passionnante des enfants moines des Himalayas que l'on rencontre avec bonheur.
Au musée Paul-Dupuy, 24 peintures tibétaines anciennes sont exposées pour la première fois depuis plus de vingt ans. Objets d’entrainement à la visualisation des divinités dans le bouddhisme tantrique, ces thangkas sont répartis en cinq sections permettant d’aborder leurs techniques de création et de restauration jusqu’à leurs usages dans la pratique du bouddhisme. L’explication et le décryptage de ces peintures permettent de comprendre l’origine du bouddhisme, son histoire et la pratique de la méditation.
Section I
Les techniques de création des thangkas et leur restauration. La création et la restauration des thangkas nécessitent des connaissances très spécifiques. À l’entrée du parcours, un documentaire sur Marion Boyer, spécialisée dans la restauration des thangkas, est projeté.
Section II
La dévotion quotidienne au Bouddha historique. Pour évoquer la dévotion quotidienne au Bouddha historique, un autel sera reconstitué avec les offrandes traditionnelles. Un thangka représentant Shakyamuni (ou le Bouddha historique) sera exposé au-dessus de l’autel ainsi
que quatre peintures relatant sa vie.
Section III
«L’impermanence est la loi universelle». Derniers mots du Bouddha historique, base des enseignements, ils fondent toute la philosophie bouddhique et la pratique. Dans cette salle sont présentées les images des divinités protectrices des enseignements du Bouddha, le dharma. Pour le pratiquant, ces divinités protectrices sont une métaphore des secours que les enseignements du Bouddha apportent face aux difficultés qui s’élèvent dans l’esprit de chacun sur la route de l’Éveil. Plus généralement, il s’agit aussi d’une image de la nécessité de préserver l’authenticité des enseignements au cours des siècles.
Section IV
Gurus et lignées : interdépendance et transmission des enseignements. Le bouddhisme repose sur un principe de transmission des enseignements du Bouddha historique jusqu’à nous, sans changement au cours des siècles. Les grands sages indiens des temps anciens, arhats et mahasiddas, ont reçu du Bouddha lui-même la mission de protéger et de transmettre le dharma jusqu’à l’avènement du Bouddha Maitreya, le bouddha du futur. Chaque ordre monastique tibétain a développé une dévotion aux membres de la lignée des origines jusqu’à aujourd’hui. Cette pratique, que l’on appelle le guru yoga, sert à préparer l’esprit, à appréhender la notion centrale d’interdépendance, selon laquelle rien n’a d’existence propre. Tous les phénomènes sont conditionnés, composés et liés les uns aux autres. On ne peut donc pratiquer le bouddhisme aujourd’hui que grâce aux pratiquants du passé.
Section V
Partie 1 : les Yidam des tantras inférieurs : Amitayus, Tara et Chenrezig
Les yidam = divinités d’élection
Cette section porte sur la pratique elle-même. La pratique bouddhiste repose
sur 2 voies :
• La méditation (entraînement de l’esprit)
• La pratique des divinités, autre forme d’entraînement de l’esprit par la visualisation des divinités et la récitation de leurs mantras. La méditation des divinités (ou yidam) suppose une initiation (ou transmission de pouvoir) par un maître authentique (détenteur d’une transmission de lignée et habilité à transmettre l’initiation) qui est ensuite suivie d’un enseignement spécifique à chaque yidam et de la lecture rituelle qui autorise la pratique (le loung).
En général, chaque pratiquant développe au quotidien une dévotion à une divinité particulière. Les tantras définissent les caractères de chaque divinité et la pratique qui lui est propre (mantras, récitation de textes, rituels, etc.). On distingue les tantras inférieurs des tantras supérieurs, en ce sens qu’il existe des rituels tantriques plus complexes et plus exigeants que d’autres qui procurent un accès beaucoup plus rapide à l’Eveil (en une seule vie) mais
qui requièrent aussi un investissement et des conditions spécifiques que tout pratiquant n’est pas en mesure de réunir.
Partie 2 : Le tantra de Kalachakra
Kalachakra est une divinité dont la pratique est l’une des plus complexes du Vajrayana et nécessite une préparation et des conditions exigeantes. Composé de cinq traités qui définissent une école philosophique à part entière, le tantra de Kalachakra aurait été introduit au Tibet au Xe siècle, peut-être depuis le Bengale. Très en faveur chez les gelugpas, l’une des quatre lignées principales du bouddhisme tibétain, ce tantra est pratiqué néanmoins par tous les ordres monastiques mais il reste une affaire de pratiquants très aguerris.
Cela fait plus de trente ans que Matthieu Ricard réside au coeur de l’Himalaya. Au cours de ces années, il a lié d’étroites relations avec certains des plus grands maîtres du bouddhisme, de Dilgo Khyentsé Rimpoché au Dalaï-Lama dont il est, en France, le traducteur et le porte-parole. Il est aussi un photographe hors du commun. Ainsi, trente grands tirages photographiques invitent le spectateur à un voyage dans un Tibet inédit, un périple intérieur et extérieur au coeur de la spiritualité bouddhiste mais aussi de la vie quotidienne et des fêtes de ce peuple des confins de l’Himalaya.
« Voyage chez les enfants moines aux portes de l’Himalaya » Par Isabelle Garcia-Chopin
La photographe documentariste toulousaine Isabelle Garcia-Chopin expose au musée Georges-Labit du 13 décembre 2016 au 21 mai 2017 les photographies de ses derniers reportages. Il s’agit d’une série de clichés pris en noir et blanc entre 2011 et 2014, intitulée « Voyages chez les enfants moines aux portes de l’Himalaya ».
Le reportage d’Isabelle Garcia-Chopin plonge dans le quotidien des jeunes moines de différents monastères népalais. Au fur et à mesure de ses voyages, la photographe revient avec de nouvelles anecdotes et les raconte dans ses images. « La porte est toujours ouverte. Dès que je viens, les enfants m’accueillent » raconte-t-elle, le sourire aux lèvres. A la fin de son premier séjour, en 2011, un enfant-moine s’est même prosterné devant elle. La documentariste les a quittés avec les larmes aux yeux. Du réveil très matinal, en passant par la toilette et les longues heures d’étude, la photographe immortalise ces scènes de vie dont émane beaucoup de joie. « Tout est propice à l’amusement chez eux, l’imaginaire est important », explique-t-elle.
Plusieurs photographies montrent le travail de lectures des textes sacrés et d’apprentissage des mantras dans les monastères. Pour les familles, c’est un honneur et une fierté, souvent un soulagement économiquement aussi, que de voir un enfant entrer dans un monastère. Au programme de l’école : langues, enseignement du Bouddha et méditation, au coeur de l’apprentissage bouddhiste.
CONFÉRENCES
Matthieu Ricard Moine bouddhiste, auteur et photographe
Plaidoyer pour l’altruisme
Mardi 13 décembre 2016 – 19h30
Les recettes seront reversées à l’association de Matthieu Ricard « Karuna-Schechen ».
Billetterie en ligne amp.festik.net
Hall 8, Parc des expositions de Toulouse
Isabelle Garcia-Chopin
Documentariste et photographe
Projection-conférence
Sagesse du Népal
Jeudi 15 décembre 2016 – 20h / Jeudi 19 janvier 2017 – 20h
Octobre au Ladhak
Jeudi 23 mars 2017 – 20h / Jeudi 11 mai 2017 – 20h
Auditorium du musée Paul-Dupuy
Réservation au 05 31 22 95 40
Lama Kunkyab
Lama bouddhiste de la lignée Kagyupa, enseignant et artiste.
Projection-conférence
Le projet du temple de Kundreul Ling (Auvergne)
Jeudi 26 janvier 2017 – 20h
Passage de la tradition aniconique à la représentation anthropomorphe du bouddha
Vendredi 27 janvier 2017 – 20h
Thomas Busigny et Leily Blondeau
Psychologues et docteurs en psychologie, spécialisés en neurosciences et neuropsychologie
La méditation : au confluent de la philosophie, de la santé et des neurosciences
Jeudi 30 janvier 2017 – 20h > 22h / Jeudi 27 avril 2017 – 20h > 22h
CONCERTS
Drukmo Gyal Chanteuse tibétaine
La Voix des neiges
Jeudi 05 janvier 2017 – 20h Auditorium Saint-Pierre des Cuisines
Réservation au 05 31 22 95 40
Franz Nieler Musicien spécialiste des bols chantants
Concert de bols chantants tibétains
Vendredi 16 décembre 2016 – 20h
Vendredi 25 janvier 2017 – 20h
Vendredi 03 février 2017 – 20h
Vendredi 03 mars 2017 – 20h
Musée Paul-Dupuy
Réservation au 05 31 22 95 40
PERFORMANCE
Richard Granado Sculpteur Dans les salles d’exposition, au musée Paul-Dupuy, réalisation d’une sculpture en terre (argile et coton) du Bouddha Shakyamuni selon les principes de la sculpture sacrée tibétaine
Du 13 au 16 décembre 2016
Du 17 au 20 janvier 2017
Du 21 au 24 février 2017
Du 21 au 26 mars 2017
Du 25 au 28 avril 2017
Du 9 au 12 mai 2017
Musée Paul-Dupuy
ATELIERS
Adultes
Atelier de représentation du corps du Bouddha par Lama Kunkyab Samedi 28 janvier 2017 – 14h > 18h
Musée Georges-Labit
Réservation au 05 31 22 99 80
Atelier bols chantants tibétains par Franz Nieler
Samedi 4 mars – 10h30 > 12h et 14h30 > 16h
Musée Paul-Dupuy
Réservation au 05 31 22 95 40
Jeune public (Vacances d’hiver) Ateliers éveil vibratoire (bols chantants tibétains) par Franz Nieler
Jeudi 9 février 2017 10h30 : 3 à 7 ans obligatoirement accompagné d’un adulte
14h30 : à partir de 7 ans Durée : 1h15
Musée Paul-Dupuy
Réservation au 05 31 22 95 40
Atelier mandala par Dominique Pastor
Mercredi 15/02/2017 – 14h30
Musée Paul-Dupuy
VISITES COMMENTÉES DES EXPOSITIONS Musée Paul-Dupuy
Adultes
Les mardis 20 et 27 décembre 2017 à 14h30
Jeune public
Les jeudis 22 et 29 décembre 2017 à 14h30
L’exposition durant cinq mois, une nouvelle programmation d’animations, d’ateliers et de conférences sera proposée en 2017
Nous faisons appel à des mécènes privés pour l'acquisition de douze tirages originaux, numérotés et signés de Matthieu Ricard. Ils permettront d'enrichir et d'actualiser les collections ethnographiques et artistiques du musée Georges-Labit. Cette acquisition poursuit la démarche initiée par son fondateur Georges Labit de réunir des oeuvres de la culture asiatique de nature à nous renseigner sur les modes de vie des populations concernées. L'argent collecté pour l'achat des tirages, soit 12 000€ sera reversé à l'association.
Une exposition itinérante
Les tirages photographiques de Matthieu Ricard exposés au musée Paul-Dupuy pourront par la suite être présentés lors d'expositions itinérantes selon le souhait de Matthieu Ricard.
Conférence de Matthieu Ricard
L'argent récolté lors de la vente des billets pour la conférence de Matthieu Ricard – organisée par les musées Paul-Dupuy et Georges-Labit – le mardi 13 décembre, sera entièrement reversé à l’association « Karuna-Shechen ». Picto Toulouse est déjà mécène et partenaire en proposant au-delà d’une participation à l’achat des photographies une quatrième exposition en partenariat avec Canson.
Chenrezig à quatre bras, peinture à la détrempe montée sur brocart de soie, Tibet oriental, XIXe siècle Musée Georges-Labit, collection Lise et Jean Mansion © F. Pons 2016
Les musées Paul-Dupuy & Georges-Labit
Le musée Paul-Dupuy, consacré aux arts graphiques (dessins, estampes et photographies anciennes) et aux objets d’art (du Moyen Âge au XIXe siècle), est installé dans un hôtel bâti au XVIIe siècle par le procureur au parlement
Pierre Besson.
C’est en 1909 que l’amateur toulousain Paul Dupuy (1867 – 1944) achète l’hôtel de Besson pour y installer sa collection composée d'objets, de peintures, de sculptures, de céramiques, de meubles, d'objets ethnographiques, de textiles ainsi que de dessins et d'estampes, en majorité d’artistes toulousains. L’ensemble des collections et l’immeuble qui les abritait ont été légués à l’État au décès de Paul Dupuy en 1944. Devenu propriété de la ville de Toulouse en 1948, le musée s’enrichit par la suite d’autres collections toulousaines jusque-là conservées au musée Saint-Raymond : des objets du Moyen Âge et de la Renaissance, ainsi que l’exceptionnelle collection d’horlogerie donnée par Édouard Gelis.
Le musée Georges-Labit
Le musée Georges-Labit conserve une des plus belles collections françaises d’art oriental – Japon, Chine, Asie du Sud-Est, Inde, Tibet, Népal – ainsi qu'une importante collection d’antiquités égyptiennes. Le musée est fondé en 1893 par Georges Labit (1862 – 1899) pour abriter les collections de ce voyageur passionné d’ethnologie, d’histoire de l’art et d’histoire des religions. A son décès en 1899, la propriété du musée revient à son père qui le lègue à la ville de Toulouse en 1912. À partir des années 1930, le musée très hétéroclite de Georges Labit oriente définitivement ses collections vers les arts d’Asie. En 1948, à l’occasion d’une nouvelle répartition des collections municipales, le musée reçoit d’autres pièces asiatiques et la collection égyptienne. Par la suite, les collections du musée s‘enrichiront grâce à l’apport de plusieurs collectionneurs, les acquisitions des conservateurs successifs et des dépôts de l’Etat.
Padmasambhava et ses deux épouses (détail), peinture à la détrempe montée sur brocart de soie, Tibet, XVIIe siècle Musée Georges-Labit, collection Lise et Jean Mansion © F. Pons, 2016
Horaires Tous les jours de 10h à 17h Fermé le lundi et les jours fériés.
Tarification : Les expositions du musée Paul-Dupuy ou du musée Georges-Labit sont accessibles au tarif unique de 2€.
Le même billet donne également accès au deuxième lieu d'exposition, soit le musée Paul-Dupuy ou le musée Georges-Labit.
Visite des collections permanentes du musée : 4€ (voir site internet pour les tarifs réduits)
Entrée libre tous les week-ends pour les détenteurs de la carte muséelibre et le premier dimanche de chaque mois pour tout public.
Musée Paul-Dupuy 13 rue de la Pleau 31 000 Toulouse
Bus ligne 12 arrêt Carmes navette centre-ville
Métro ligne A : station Esquirol ligne B : station Carmes Stations VélÔ Toulouse
n° 45 rue Ozenne n° 46 place des Carmes n° 47 rue du Languedoc
Informations et accueil 05 31 22 95 40
Site Internet : www.ampdupuy.fr
Rejoignez-nous sur la page Facebook du Musée Paul-Dupuy et sur le compte Twitter @museeDupuy pour échanger autour de l'exposition.
Musée Georges-Labit 17 rue du Japon 31 400 Toulouse
Bus lignes 10 arrêt Jardin des Plantes & Demouilles ligne 2 arrêt Jardin des Plantes ligne 27 arrêt Passerelle Saint-Sauveur
Métro ligne B : station François-Verdier Stations VélÔ Toulouse
n°114 Bd Monplaisir n°98 Allées des Demoiselles
Informations et accueil 05 31 22 99 80/81
Rejoignez-nous sur la page Facebook du musée Georges-Labit
L’arhat Dharmatala et les rois-gardiens du nord (Vaishravana) et de l’ouest (Virupaksha) assistant au mahaparinirvana du bouddha Shakyamuni (détail), peinture à la détrempe montée sur brocart de soie, Tibet oriental, XIXe siècle. Musée Georges-Labit, collection Albert et Gilberte Gros © F. Pons, 2016