Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Autour de

Autour de

Je vous propose de voir mes photos dans des reportages photos. Nature, Promenades, Fêtes, Expositions ....


Hommage à Italo Calvino à l'Institut culturel italien

Publié par Lemenuisiart sur 29 Mars 2018, 06:08am

Catégories : #italie, #Italo Calvino, #photo, #presse, #C'est grâce à vous

Florence. Atelier du sculpteur Lorenzo Bartolini, 1856-57, Archives Alinari, Florence

Florence. Atelier du sculpteur Lorenzo Bartolini, 1856-57, Archives Alinari, Florence

Hommage à Italo Calvino à l'Institut culturel italien

Alinari et Calvino. L’image et la parole. La mémoire de la photographie et l’invention de la narration. Lesplus anciennes archives photographiques italiennes et l’intelligence d’une des grandes figures de la littérature italienne du xxe siècle. C’est de cette heureuse union qu’est née l’exposition Les Archives Alinari et la syntaxe du monde. Hommage à Italo Calvino. Une exposition qui a une résonance très particulière pour nous, qui représentons l’Institut culturel italien de Paris, en raison du lien historique qui nous attache à l’auteur du Baron perché et de Si par une nuit d’hiver un voyageur.
Notre bibliothèque lui est en effet dédiée depuis 1998, à l’initiative de Pietro Corsi, qui dirigeait l’Institut à cette époque. C’est là, sur ces rayonnages, qu’est conservé le fonds rassemblant l’ensemble des traductions des oeuvres de Calvino publiées aux quatre coins de la planète, auquel s’est ensuite ajouté un corpus d’essais, aussi riche que varié. Ce fonds – inauguré en 1995 par Paolo Fabbri, le directeur de l’époque, grâce à la contribution décisive d’Esther Singer Calvino, la femme de l’écrivain – compte aujourd’hui huit cent cinquante volumes.
La mémoire d’Italo Calvino est donc bien vivante entre les murs de l’Hôtel de Galliffet. Et elle le sera encore davantage grâce à cette exposition.
La machine narrative sophistiquée mise au point par le romancier dans les pages du Château des destins croisés trouve dans les photographies des Archives Alinari un univers visuel inépuisable, au sein duquel déployer toutes ses potentialités. Dans le roman comme dans l’exposition, les possibilités combinatoires infinies des cartes de tarot constituent le principe générateur d’une pluralité de récits. De la parole à l’image, l’invention se transforme et renaît. Le long de cette ligne de fuite, les photos provenant des Archives Alinari, choisies par Christophe Berthoud et organisées en séquences inspirées des récits calviniens, révèlent progressivement un kaléidoscope de correspondances suggestives. Autant d’étapes d’un voyage riche en émotions où la parole laisse à l’image le soin de prolonger l’aventure.
Dans les espaces d’exposition de l’Institut, ce dialogue entre écriture et photographie se révèle
extrêmement heureux et fructueux. D’un côté, dotées d’un charme empreint d’échos lointains et désuets, les images confèrent aux séquences narratives de Calvino un halo de significations inattendues. De l’autre, les mots du romancier fasciné par les tarots invitent à examiner avec un autre regard ces photos provenant d’une époque lointaine. L’échange entre le texte et l’image fait ainsi apparaître un riche éventail de significations cachées et de perspectives inédites. En même temps, en mettant en lumière toute la richesse d’un patrimoine photographique sans pareil, il nous invite à nous abandonner au jeu de la découverte heureuse. Ce qui était d’ailleurs, pour Calvino, l’un des buts de la littérature.
Fabio Gambaro Directeur de l’Institut culturel italien de Paris

Je ne crois pas qu’il puisse y avoir de meilleure manière de célébrer l’activité des Alinari que cette extraordinaire et intrigante exposition conçue par Christophe Berthoud – que je remercie vivement ici – et présentée à l’Institut culturel italien de Paris, siège prestigieux d’une bibliothèque dédiée à Italo Calvino.
L’utilisation de la structure narrative combinatoire proposée par Italo Calvino dans les récits du Château des destins croisés pour revisiter le monde figuratif des archives Alinari est un choix audacieux. Cette clé de lecture insolite et fascinante permettra au visiteur de naviguer au coeur de l’un des patrimoines photographiques les plus importants de l’histoire. Une histoire faite d’images = photographies représentant la mémoire visuelle collective, dont les Alinari sont les auteurs et encore aujourd’hui les gardiens, chargés de valoriser et de présenter au grand public leur richesse exceptionnelle et le « vertige » de significations que ces images révèlent. Des images qui sont de véritables icônes visuelles d’une esthétique sans références chronologiques, qui devient – aujourd’hui comme hier – la syntaxe de la narration et de l’imaginaire.
Je remercie pour leur soutien les Rencontres de la photographie d’Arles, en les personnes de François Hébel et de Sam Stourdzé, en appelant de mes voeux la réalisation de nombreux autres projets communs.
Je désire enfin remercier l’Institut culturel italien et son directeur, Fabio Gambaro. Son sens aigu de laculture italienne et européenne nous a guidés dans la réalisation de cette exposition, qu’il a su comprendre etenrichir, en formulant des propositions pour l’intégrer dans un programme stimulant.
Claudio de Polo Président de Fratelli Alinari. Fondation pour l’Histoire de la photographie.

Alinari : un passé conjugué au présent

L’atelier photographique Fratelli Alinari voit le jour à Florence en 1852 sous la forme d’une entreprise familiale, qui sera transformée en société par actions en 1920. Il est soutenu aujourd’hui par une Fondation.
Cette continuité fait d’Alinari la plus ancienne firme photographique au monde après avoir été l’atelier le plus florissant d’Italie.
Sa renommée est d’abord liée à la reproduction de qualité des oeuvres d’art. Très rapidement son rayonnement commercial prend assise sur le patrimoine culturel italien dans son ensemble, à travers des campagnes de prises de vue qui répertorient les vestiges de l’Antiquité, les édifices médiévaux, les fresques, la statuaire mais aussi les costumes traditionnels, les sites, les villes, les villages pittoresques et leurs habitants...
Dotée depuis ses débuts d’un studio de portrait avec pignon sur rue, la maison Alinari réalise également des commandes pour l’industrie, les institutions religieuses, des laboratoires scientifiques. La somme des images produites sous l’ère des Alinari offre ainsi une vision kaléidoscopique de l’art, de la société italienne et de ses mutations dans le dernier tiers du 19e et le premier quart du 20e siècle.
Lieu vivant et lieu de mémoire, Alinari continue à jouer un rôle majeur dans le paysage photographique, comme éditeur de beaux livres, comme musée de la photographie et détenteur de fonds photographiques, acquis depuis les années 1930, et enfin comme agence de diffusion d’images en ligne, couvrant plus d’un siècle d’histoire et tous les domaines de la photo.

Le monde se lit à l’envers Laura Di Nicola
Peut-on, avec un jeu de tarot, construire un château de narrations ? C’est ce qu’a fait Italo Calvino dans Le Château des destins croisés, premier livre d’une trilogie inachevée comprenant Le Château, La Taverne et Le Motel (ce dernier étant resté à l’état de projet), dont la version définitive est sortie en Italie chez Einaudi en 1973 et en France aux éditions du Seuil en 19811.
L’idée d’utiliser le tarot comme une machine narrative combinatoire a vu le jour à l’occasion d’un séminaire sur les structures du récit que Paolo Fabbri a tenu en juillet 1968, et qui a inspiré à Calvino le principe selon lequel « la signification de chaque carte dépend de la place qu’elle prend relativement aux autres cartes qui la précèdent et qui la suivent ». À partir de là, l’écrivain développe, avec une curiosité et un plaisir intellectuels, une interprétation des cartes selon une « iconologie imaginaire »2.
Pendant ses cinq années parisiennes, de 1968 à 1973, qui couvrent la gestation de l’oeuvre, Calvino se consacre en même temps à son étude sur l’utopie, à ses travaux sur Fourier et sur l’Arioste, à ses réflexions sur le récit comme processus combinatoire (La macchinas pasmodica, 1969) et à la publication de Dall’opaco (1971) et des Città invisibili (1972) : différentes écritures d’un laboratoire calvinien fortement expérimental.
Comme l’annonce la quatrième de couverture, ce livre est une « multitude d’histoires extraordinaires et aventureuses », extraites « par un tour de passe-passe digne d’un magicien » d’un jeu de tarot. Effectivement, un enchantement qui pèse sur le Château et sur la Taverne enclenche l’action narrative : les personnages ont perdu la parole, ils sont muets, comme figés, et ils se racontent à travers les détails imagés des cartes et leur disposition sur la table. La texture des multiples fils qui ourdissent et marquettent la chaîne des récits révèle combien « de paradoxes l’imagination peut décomposer et recomposer ». Le « jeu » combinatoire – une méthode pour affronter l’infinie potentialité du narrable, dupossible – se décline, de manière dialectique, dans le rapport entre ordre et désordre, unique et multiple, imagination et réel, signe et emblème, écriture et figure, géométrie et fantaisie.
Le choix des seize « histoires » – quatorze récits,sept dans le Château et sept dans la Taverne, introduits par un texte inaugural – tirées de la succession plus ou moins rapide des cartes, implique, dans la polysémie des tarots et de ses interprétations iconologiques possibles et stratifiées, le sentiment de la perte de la narration dans la confusion de la myriade d’histoires possibles. Il en découle un texte efficace, visuel, « signique », un « récit pictographique » et, en même temps, fabulateur ; des « mots croisés faits de figures au lieu de lettres, où en plus chaque séquence peut se lire dans les deux sens », de droite à gauche et de haut en bas. Dans l’ordre fortuit des cartes, dans les possibilités de leur nouveau mélange, les histoires s’emboîtent et se succèdent et, en elles, les croisements des destins individuels, leurs relations et leurs connexions, qui convergent dans l’angoisse du « centre d’un horizon vide », dans le vertige de l’infini.
L’obstination avec laquelle il cherche un ordre devient alors, pour l’auteur, un exercice de rigueur morale, une règle dans le chaos d’un monde qui « se lit à l’envers », depuis sa décomposition, depuis la fin. Face à la perte de la parole des narrateurs, c’est Macbeth qui déclare en conclusion, sur un ton apocalyptique : « Je […] souhaite que se casse la syntaxe du Monde : que semêlent les cartes, les feuilles de l’in-folio, les fragments de ce miroir du désastre. » Mais alors, en mélangeant les cartes, on peut recommencer depuis le début pour
relire les narrations du château, à partir de la fin, à l’envers.


1 . Outre Il castello, cette édition comprend La taverna dei destini incrociati et une importante Nota de l’auteur présentant l’idée d’une trilogie manquée, avec un troisième texte, Il motel dei destini incrociati, resté à l’état de projet. Une première version était déjà  parue dans Italo Calvino, L’édition française, Le Château des destins croisés, traduite par Jean Thibaudeau et par l’auteur, est parue aux éditions du Seuil en 1981.

Florence. Ballon aérostatique, piloté par l'aéronaute Julhes, 19 mars 1884, Archives Alinari, Florence

Florence. Ballon aérostatique, piloté par l'aéronaute Julhes, 19 mars 1884, Archives Alinari, Florence

La syntaxe du monde Christophe Berthoud
Comment rendre compte plastiquement de l’aspect kaléidoscopique des archives Alinari, de leur richesse foisonnante ?
L’option choisie pour répondre à la carte blanche qui m’a été offerte par les Rencontres d’Arles et la Fratelli Alinari, Fondation pour l’Histoire de la Photographie, a été d’organiser les photographies sélectionnées à l’aide d’un système combinatoire inspiré du dispositif mis en oeuvre par Italo Calvino dans son recueil de récits Le château des destins croisés.
C’est pour moi un grand honneur et un défi ambitieux que la possibilité qui m’est offerte d’adapter ce projet à l’Institut culturel italien à Paris, dans ces très belles salles de l’Hôtel de Galliffet chargées d’histoire(s), qui contribuent en quelque sorte à évoquer l’atmosphère du Château des destins croisés.
Le principe narratif est le suivant : des voyageurs égarés trouvent refuge dans un château, puis une taverne. Mystérieusement privés de l’usage de la parole, ils n’ont d’autre possibilité pour raconter leur histoire respective que de s’aider des lames d’un jeu de tarot étalé sur la table. Les récits de Calvino progressent ainsi parallèlement aux cartes reproduites en marge de son texte, selon une lecture toute personnelle des arcanes.
Adepte des jeux littéraires de l’Oulipo dont il est, à partir de 1973, l’un des membres éminents avec Georges Perec et Raymond Queneau, Italo Calvino s’impose une règle : « disposer les cartes selon un ordre qui contînt et commandât la pluralité des récits ». Ce plan est publié dans son livre sous la forme d’un tableau composé des 78 lames de tarot qu’il compare à une table des matières, à une grille de mots croisés faite de figures au lieu de lettres, ou encore à un labyrinthe, un puzzle. Le pari a été de prolonger le jeu dans l’espace de l’exposition, en interprétant la règle instaurée par Calvino, conformément à la démarche oulipienne qui consiste à inventer une proposition neuve à partir d’une forme connue. Je me suis attaché au second texte, « La taverne des destins croisés ». Ma lecture et la sélection des images ont été de pair. Au mur, les photographies s’ordonnent selon un système de mots clés que tout archiviste ou utilisateur des moteurs de recherche connaît (« cavalier », « château+racines », « intersection », etc.) et se substituent à la narration littéraire. Le résultat peut s’apparenter parfois à un rébus, voire un story board, sans être tout à fait assimilable à l’une ou l’autre de ces formes.
C’est une illustration sans texte, la mise en écho photographique d’un récit lui-même inspiré par des emblèmes. Ce principe d’organisation une fois adopté, le choix aurait pu être de montrer les suites de photographies uniquement. Chez les Oulipiens, deux conceptions de la contrainte créatrice coexistent : l’invisibilité de la règle qui a donné sa forme spécifique à l’oeuvre (Raymond Queneau en était partisan) ou, à l’inverse, la révélation de cette règle au public. Italo Calvino partageait cette seconde conception. Suivant son exemple, j’ai choisi de ne pas « faire disparaître entièrement l’échafaudage après emploi » : subsistent les combinaisons de cartes, les extraits du texte, les titres des histoires. Le chantier mental est encore en place, il offre au spectateur une possibilité de vérification autant qu’une invitation à poursuivre intuitivement le dispositif.
Restituer quelque chose de l’écriture de Calvino à travers un dépôt de mémoire et de formes aussi riche que celui des archives Alinari, c’est tenter de montrer que ce fonds est aussi un gisement d’imaginaire et qu’il nous parle toujours au présent, pas uniquement au passé comme objet d’étude historique.

HISTOIRE DE LA FÔRET QUI SE VENGE

Le fil de l’histoire s’est embrouillé d’abord parce qu’il est difficile de combiner une carte avec une autre, mais aussi parce qu’à chaque nouvelle carte que le jeune homme essaie de disposer auprès des autres, dix mains s’allongent pour la lui prendre et la placer dans une autre histoire que chacun veut exposer, et à un certain point les cartes lui échappent de tous côtés, il doit les retenir avec ses mains, ses avant-bras, ses coudes, et de la sorte il les cache même à qui voudrait comprendre l’histoire qu’il est, lui, en train de raconter.

Enfants sur des échasses, 1890 env., Archives Alinari, Florence

Enfants sur des échasses, 1890 env., Archives Alinari, Florence

DEUX HISTOIRES OÙ ON SE CHERCHE POUR S’Y PERDRE

Les clients de la taverne s’envoient des coups autour de la table peu à peu recouverte de cartes, ils s’efforcent de sortir de cette mêlée confuse les tarots de leur propre histoire, et plus les histoires deviennent embrouillées et tirées par les cheveux plus les cartes ainsi éparpillées trouvent leur place dans une mosaïque bien rangée. Est-ce seulement le fait du hasard, ce dessin, ou bien l’un d’entre nous n’en construit-il pas avec patience l’assemblage ?

Pise. La tour penchée, 1860 env., Archives Alinari, Florence

Pise. La tour penchée, 1860 env., Archives Alinari, Florence

HISTOIRE DE L’INDÉCIS

L’un de nous retourne une carte et la prend, il la regarde comme s’il se regardait dans un petit miroir. […] Ayant trouvé ce tarot, c’est comme si le jeune homme reconnaissait dans toutes les autres cartes qui lui tombent sous la main un sens spécial, et les dispose en ligne sur la table comme si de l’une à l’autre il suivait un fil.

Milan. La flèche principale de la cathédrale, 1890 env., Archives Alinari, Florence

Milan. La flèche principale de la cathédrale, 1890 env., Archives Alinari, Florence

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
M
et oui on doit beaucoup à nos anciens, super de les mettre à l'honneur....j'ai beaucoup la photo de ces deux enfants sur leurs échasses....passe un agréable vendredi
Répondre
L
C'est bien dans le style
D
Je n'avais jamais fait attention, mais tu n'as pas beaucoup de visiteurs ...<br /> C'est vraiment dommage car tous tes articles sont vraiment intéressants !<br /> Et aujourd'hui, on dit :<br /> ♥ ♥ ♥ JOYEUX ANNIVERSAIRE !!! ♥ ♥ ♥<br /> Avec une brassée de bisouXXX<br /> Passe une belle et bonne journée, entouré de ceux que tu aimes, de près ou de loin !!!<br /> <br /> Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ
Répondre
L
Moins que toi en commentaire sans aucun doute
P
Un bel article !<br /> Bonne soirée .
Répondre
L
Très beau comme article pour moi je me suis même jeté dessus tellement j'adore le sujet.
M
Je connais un peu cet auteur, avec Le Baron perché. L'expo a l'air intéressante.
Répondre
L
Je le pense aussi
B
oui c'est un communiqué que j'ai vu passé
Répondre
L
Il est excellent pour moi
T
Salut<br /> Elles sont superbes ces photos en noir et blanc. <br /> Elle est jolie celle de la tout de Pise. <br /> Bonne journée
Répondre
L
Des purs trésors pour moi
J
Un auteur que j'apprécie beaucoup, merci
Répondre
L
très bien
L
Merci Christian, c'est splendide je suis ravie de le découvrir!
Répondre
L
Cela me fait très plaisir
C
Bonjour Christian, <br /> C'est une invitation à cette belle exposition. Je ne connais pas la littérature d'Italo Calvino.<br /> Un bel article.<br /> Bonne journée<br /> @mitié
Répondre
L
C'est une exceptionnelle découverte
M
Je n'aime pas trop l'écrivain. Jolies photos.
Répondre
L
Moi je regarde surtout les photos ici
É
J'ai beaucoup aimé "Le baron perché" d'Italo Calvino. Bonne journée
Répondre
L
très bien
M
Dommage que je ne puisse pas aller à Paris cette expo m'aurait beaucoup plu d'autant plus que j'ai adoré tous les livres d'Italo Calvino et son imagination sans borne. merci pour ces belles photos d'un artiste que je ne connais pas
Répondre
L
pareil pour moi
O
Bonjour d’Angers …<br /> Bel hommage ! … Une machine narrative sophistiquée … mais … les cartes pour moi ...<br /> Passe une bonne journée ... Amicalement ... ¢ℓαυ∂є …
Répondre
L
Des trésors de photos
I
Fort intéressant mais pour un fainéant comme moi !!!!
Répondre
L
Je comprend bien
Z
Un peu long à lire, mais très intéressant Christian. Bises et bon jeudi.
Répondre
L
C'est sur car moi j'ai tout lu
S
J'adore ces photos anciennes! La première dégage une ambiance particulière.
Répondre
L
Bien d'accord
D
Merci pour le partage de ce super reportage très complet.<br /> Bon jeudi, toujours vent, grisaille et pluie.<br /> Bisoux, christian
Répondre
L
Merci beaucoup
R
Ton billet est une pépite <br /> Merci pour ce talent <br /> J'ai passé un moment agréable <br /> Bonne journée
Répondre
L
Je suis te ton avis, une pépite.

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents