Manifestation record pour ce mardi 7 mars
Mardi matin, les manifestations ont commencé aux ronds-points, de l'aéroport, des sorties autoroutes, et d'autres encore. Des informations données ont, même dit, que des manifestants n'ont pu rejoindre le cortège à Perpignan.
Un cortège record en fréquentation avec selon les syndicats 30.000 personnes et selon la préfecture 11.000. Pour avoir comme toujours chronométré le cortège, il a duré 47 minutes. C'est autant d'attente pour les automobilistes bloqués et par ailleurs, on a vu des voitures rentrer dans le cortège, provoquant des cassures ainsi que de l'insécurité.
Le grand parcours a été fait avec un bonus, le passage sur le pont Arago puis le retour. La route a été bloquée dans les deux sens. Les forces de l'ordre, ainsi que les patrouilleurs ont fait le maximum pour assurer la sécurité des manifestants que des automobilistes. Si la prolongation n'a pas été une réussite, avec une partie du cortège étant restée place de Catalogue et une autre au milieu. Aucun incident n'a été déploré, si ce n'est quelques anarchistes bloquants le cortège pendant quelques minutes. Comme la vie continue, les pompiers ont pu traverser le cortège grâce à une bonne coordination des services de sécurité des syndicats et des forces de l'ordre. En tout cas, si la partie de la manifestation non déclarée a montré de l'incompréhension entre les syndicats et leur voiture, le message est totalement unitaire pour dire non à l'allongement de deux ans pour les retraites. C'est un cortège de 6 kilomètres qui a eu lieu en ce mardi matin. On notera que des manifestants sont retournés sur le pont Arago, bloquant la route sur les sens pendant une demie-heure et sans incident.
Les photos sont montrées dans l'ordre, par deux personnes Christian et Nicolas.
C'est une action artistique et revendicatrice de l'association, action rébellion, comme ils ont pu de me l’expliquer : « C’est un raid rebelle pour prendre le temps de ralentir, un moment solennel, pour réfléchir à l'extinction de la biodiversité et l'extinction de nos droits que l'on vit actuellement. »