Le quai des luttes en ouverture à Perpignan

Le quai des luttes en ouverture

Si le grand moment sera à 18 heures avec la déception du Conseil constitutionnel et le retour d'un texte encore plus dur et défavorable. C'est avant tout l'ouverture du quai des luttes.
C'est bien des luttes, et non pas uniquement des retraites. On pouvait lire pour que l'électricité reste publique, les postiers, mais également l'écologie avec le train primeur entre Saint-Charles à Perpignan et Rungis, les cadeaux pour les riches ou la fraude fiscale pour ne citer que les principaux. Une centaine de manifestants ont fait du bruit devant la préfecture et ont installé une voie de chemin de fer. Ils sont forts, car un wagon a circulé dessus sur quelques mètres. Une restauration a été aussi mise en place pour les postiers, mais aussi d'autres syndicats.

Si le quai des luttes est en lutte, en face, il y a encore plus de monde pour regarder avec un peu la peur du débordement. "Mais comment les policiers acceptent-ils ce cirque ?" Comme des retraités me l'on dit très directement. Une autre personne très anti-syndicat ou pro réforme ont traité "regardez moi ses syndicalistes qui ne veulent pas travailler". Comme quoi en face aussi les commentaires fusent.

Si du côté du Castillet, c'est calme, il faut dire qu'aucun bus ne passe, le centre-ville fait le plein en cette après-midi, loin des luttes et plus près des commerces.

A midi.

Un message qui sera ensuite sur le pont.

Des cadeaux mais pas pour nous.

J'ai vu ce portrait ce faire, du très beau.

Dialogue entre manifestants et policiers.

L'intallation va bon train.

Pour le train entre Saint-Charles et Rungis.

Devant la préfecture.

Retour sur le quai.

Le wagon roule.

En photos, on s'amuse bien.

Dans une heure trente on va savoir.