21 août, Réunion en urgence des apiculteurs à l'USAR

Lors de cette réunion, les apiculteurs doivent s’entendre suite au refus des aides pour la calamité 2022. Surtout, après l'année 2021 où la prise en charge était nationale, ensuite, c’est département par département.

À l’heure actuelle, 14 dossiers de professionnelles ont été envoyés, pas complets selon la DDTM, mais bien dans les dates selon le président de l’USAR (3 jours avant la date nous dit-il).

« On va faire preuve de souplesse » comme a dit le préfet en juin (voir article), et la réponse est négative car officiellement jugé hors délai.

Que faire maintenant, une manif ? Problème de dates, mais quelle date ? La civile ou celle des récoltes ? Quelle action doit-on fait, syndicale ou juridique ? Prendre un avocat. Problème du coût encore plus avec une récolte faible et une mortalité forte. Surtout que certains apiculteurs sont venus de l’Usar et d’autres syndicats comme la confédération paysanne. Et on a vu des différences encore. Surtout qu'il a été constaté qu’il y a de moins en moins de professionnelles dans l’apiculture, or le problème est que pour des aides, il faut des professionnelles.

Problème de trésorerie

Pour la perte de fonds, les apiculteurs doivent faire un dossier comme demandé par la DDTM pour être envoyé à la préfecture. La sécheresse ne sera pas retenue, mais les températures élevées, oui (chercher l’erreur comme a dit le président). Comme il y a été dit « l’apiculture ne doit pas être mis avec les règles du fourrage comme actuellement ». Faire l’unité entre les syndicats et les débats sont importants entre l’USAR et les autres syndicats. La députée a terminé la séance pour dire qu’elle est prête à agir, communiquer au ministère ou à la préfecture, c’est l’urgence et faut se tenir les coudes et avancer. C’est sa première présence chez les apiculteurs. La chambre d’agriculture sera là pour s’occuper des dossiers devant être faits avant le 5 septembre. Attention une fois de plus de ne jouer avec le calendrier, les apiculteurs sont prévenus.

Une trentaine d'apiculteurs sont là.

Les discours finals avec la députée Michèle MARTINEZ (photo) puis la présidente de la chambre agriculteur Fabienne Bonnet.

A gauche, la chambre d'agriculteur toujours là.