L'acte 12 sur la manifestation des retraites à Prades

N'oubliez pas les paroles dans le cortège

Pour la troisième fois, cette manifestation a été calme et joyeuse. Certains diront peut-être que c'est le carnaval, mais finalement, les actions peuvent avoir toutes les actions.

Sans pétard, mais avec du sport comme ce jeune à la trottinette qui a fait le spectacle. Et puis en chantant sur les aires de la sono. L'esprit y était à défaut des paroles et des chanteurs allant au micro.

Pour cette troisième, une petite baisse de fréquentation surtout au départ, mais avec plus de monde au fur et à mesure avec les Perpignanais venant après le repas pris au profit des postiers.

Si l'ambiance était à la fête les messages, étaient toujours aussi important et les syndicats ont eu raison de laisser la parole à une représentante de la Ligue des Droits de l'Homme. Cette institution a été prise pour cible par le ministre de l'Intérieur. La défense des droits de l'homme n'avait été attaqué que lors de la deuxième guerre mondiale.

Les pancartes.

Et à Prades la présence des paysans.

La banderole est là.

Discours.

La représentante de la Ligue des Droits de l'Homme

C'est partie.

La trottinette sportif.

Ils arrivent.

En chantant.

Sur le RN 116

Avec le vent, pas facile.

C'est moi, pas Nicolas.

Une pancarte qui attendait l'arrivée du convoi.

Les obstacles sont nombreux.

Dans Prades.

L'arrivée à la sous-préfecture.

Les classiques.

Vue sur le parcours

Histoire d'arbre
Une histoire classique ou pas, un arbre devient trop grand sur la voie publique et gêne un riverain qui demande à la mairie de le scier. Un arbre en pleine santé et qui fait de l'ombre dans la rue. Les autres voisins refusent eux que l'arbre soit coupé. Le pin a reçu le soutien de plus de 23 000 personnes via une pétition lancée sur Internet. Un collectif pour l'arbre en ville a vu le jour depuis.

Comme toujours le même final, applaudissement entre les locaux et les Perpignanais.